PhD Princeton University, 1986
Robert Myers (Ph.D., Université de Princeton, 1986) est directeur de l’Institut Périmètre et titulaire de la chaire Groupe-financier-BMO-Isaac-Newton de physique théorique. Né à Deep River, en Ontario, il a été l’un des premiers membres du corps professoral de l’Institut en 2001, directeur scientifique de 2007 à 2008, président du corps professoral de 2011 à 2018, puis il est devenu directeur général en 2019. Avant de se joindre à l’Institut, il a été professeur de physique à l’Université McGill. Les recherches de Robert Myers portent sur des questions fondamentales concernant la physique quantique et la gravité quantique. Ses contributions scientifiques couvrent une grande variété de domaines, dont la théorie quantique des champs, la physique gravitationnelle, les trous noirs et la cosmologie. Plusieurs de ses découvertes, notamment « l’effet Myers » et la « cosmologie de la dilatation linéaire », ont joué un rôle important dans l’ouverture de nouvelles avenues de recherche. Ses travaux actuels se concentrent sur l’interaction entre l’intrication quantique et la géométrie de l’espace-temps, de même que sur l’application de nouveaux outils d’informatique quantique à l’étude de la gravitation quantique.
Parmi les distinctions qu’il a reçues, mentionnons la médaille Herzberg de l’Association canadienne des physiciens et physiciennes (1999), le prix ACP-CRM de physique théorique et mathématique remis par l’Association canadienne des physiciens et physiciennes et le Centre de recherches mathématiques (2005), la médaille Vogt remise conjointement par l’Association canadienne des physiciens et physiciennes et par TRIUMF (2012), la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II (2013) et le Prix d’ancien étudiant éminent de l’Université de Waterloo (2018). Il a de plus été élu membre de la Société royale du Canada en 2006. Robert Myers est reconnu comme l’un des scientifiques les plus influents au monde, ayant figuré cinq fois sur la liste Thomson Reuters (Clarivate Analytics) des chercheurs les plus cités. Il a été membre du programme Cosmologie et gravité de l’Institut canadien de recherches avancées (1998-2017) et membre associé du programme Extrême Univers et gravité (depuis 2017). Il a siégé à de nombreux conseils consultatifs scientifiques, dont ceux de la Station internationale de recherche de Banff (2001-2005), de l’Institut Kavli de physique théorique (2012-2016), de l’Institut de physique théorique William-I.-Fine (2015-2019) et de l’Institut Max-Planck de physique gravitationnelle (depuis 2018). Il a en outre été membre du comité de rédaction de la revue Annals of Physics (2002-2012) et du Journal of High Energy Physics (depuis 2007). Robert Myers demeure actif comme professeur et directeur de recherche d’étudiants diplômés dans le cadre de son poste de professeur auxiliaire au Département de physique et d’astronomie de l’Université de Waterloo. Au cours de sa carrière, il a dirigé ou codirigé plus de 150 postdoctorants, doctorants et étudiants à la maîtrise, dont environ 50 sont aujourd’hui professeurs dans diverses universités du monde, y compris celles de Princeton, de Cambridge et d’Oxford.
Ph.D., École normale supérieure de Lyon, 1994
Laurent Freidel (Ph.D., École normale supérieure de Lyon, 1994) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2002 à titre de chercheur invité, puis est devenu professeur à l’Institut en 2006. Il a été président du corps professoral de 2021 à juin 2023. C’est un physicien mathématicien qui a fait de nombreuses contributions dignes de mention en gravité quantique, notamment en introduisant la notion de symétrie de coin pour résoudre l’intrication et en élaborant des modèles de mousses de spin. Il a de plus introduit dans ce domaine plusieurs nouveaux concepts, comme l’holographie locale, la théorie des groupes, la localité relative, ainsi que de la théorie des métacordes et l’espace-temps modulaire. Laurent Freidel possède des connaissances très étendues dans bien des domaines, notamment la physique gravitationnelle, les systèmes intégrables, les théories topologiques des champs, les théories conformes bidimensionnelles, la théorie des cordes et la chromodynamique quantique. Il a occupé des postes à l’Université d’État de Pennsylvanie et à l’École normale supérieure de Lyon. Il est également membre du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), en France, depuis 1995, et lauréat de nombreux prix.
PhD Stanford University, 2008
Asimina Arvanitaki (Ph.D., Université Stanford, 2008) est titulaire de la chaire Fondation-Stavros-Niarchos-Aristarque de physique théorique de l’Institut Périmètre, où elle est professeure depuis 2014. Elle a été auparavant chercheuse au Laboratoire national Lawrence-Berkeley de l’Université de Californie à Berkeley (2008-2011) et à l’Institut de physique théorique Stanford à l’Université Stanford (2011-2014). Asimina Arvanitaki est physicienne des particules et se spécialise dans la conception de nouvelles expériences pour mettre à l’épreuve des théories fondamentales au-delà du modèle standard. Ces expériences font appel aux avancées les plus récentes en métrologie, dont les horloges atomiques, ainsi qu’au piégeage et au refroidissement optiques d’objets macroscopiques. Elle a récemment mis au point une expérience qui permet de rechercher dans la nature de nouvelles forces dépendant du spin, avec une précision sans précédent. Asimina Arvanitaki a également montré comment des trous noirs astrophysiques peuvent permettre de déduire la présence de nouvelles particules grâce au processus de superradiance, donnant des signatures détectables par le LIGO ou tout appareil futur de détection d’ondes gravitationnelles. En 2017, elle a été colauréate d’un prix New Horizons (Nouveaux horizons) de physique de la Fondation Breakthrough Prize (Prix du progrès scientifique) et, en 2022, elle a remporté la médaille Vogt de l’ACP-TRIUMF.
PhD Princeton University, 2006
Latham Boyle (Ph.D., Université de Princeton, 2006) s’est joint au corps professoral de l’Institut Périmètre en 2010. De 2006 à 2009, il a été boursier postdoctoral à l’Institut canadien d’astrophysique théorique et jeune boursier de l’Institut canadien de recherches avancées. Depuis quelques années, ses recherches portent sur divers sujets de la cosmologie, de la physique fondamentale et de la physique mathématique. En cosmologie, il a récemment proposé et développé (avec Neil Turok) un nouveau modèle cosmologique, dans lequel le Big Bang est une sorte de miroir, et l’Univers d’avant le Big Bang, l’image miroir de celui d’après le Big Bang selon la symétrie CPT (charge, parité, temps). Cette conception permet d’expliquer d’une manière nouvelle et catégorique un certain nombre de caractéristiques observées de notre Univers : son caractère homogène, isotrope et plat; la flèche du temps; la matière sombre; plusieurs propriétés des perturbations de l’Univers primitif; un indice des raisons pour lesquelles la constante cosmologique est si mystérieusement petite. En physique fondamentale, il a récemment souligné un nouveau lien intéressant entre certains schémas du modèle standard de la physique des particules et la structure d’un objet mathématique remarquable appelé algèbre de Jordan exceptionnelle. Avec Kendrick Smith, il a introduit la notion de « cristaux chorégraphiques », nouveaux types de cristaux dont les éléments constitutifs exécutent une chorégraphie pouvant avoir une symétrie beaucoup plus riche que ce que révèle tout instantané de ces cristaux. Avec Paul Steinhardt, il a découvert tous les « pavages de type Penrose » (cousins des fameux pavages de Penrose) dans toutes les dimensions. Avec Madeline Dickens et Felix Flicker, il a découvert que les tessellations régulières d’un espace hyperbolique (qui jouent un rôle central dans le domaine émergent de « l’holographie discrète ») produisent des pavages quasi périodiques (semblables aux pavages de Penrose) aux limites de l’espace hyperbolique, et il a souligné l’importance de ces tessellations pour l’holographie discrète.
PhD Harvard University, 2002
Freddy Cachazo (Ph.D., Université Harvard, 2002) est titulaire de la chaire Gluskin-Sheff-Onex-Freeman-Dyson de physique théorique de l’Institut Périmètre, où il est professeur depuis 2005. M. Cachazo est l’un des plus grands experts mondiaux de l’étude et du calcul des amplitudes de diffusion dans les théories de jauge telles que la chromodynamique quantique et la théorie supersymétrique N =4 de Yang-Mills, ainsi que de la théorie de la gravité d’Einstein. Il a reçu de nombreuses distinctions, dont la médaille Gribov de la Société européenne de physique (2009), la médaille commémorative Rutherford de physique de la Société royale du Canada (2011), la médaille Herzberg de l’Association canadienne des physiciens et physiciennes (2012), un prix New Horizons (Nouveaux horizons) en physique de la Fundamental Physics Prize Foundation (Fondation du Prix de physique fondamentale, 2014), ainsi que le prix ACP-CRM de physique théorique et mathématique remis par l’Association canadienne des physiciens et physiciennes et le Centre de recherches mathématiques (2016). En 2018, Freddy Cachazo a été choisi pour inaugurer la série de conférences de physique mathématique mise sur pied par le Centre de sciences et d’applications mathématiques de l’Université Harvard en l’honneur de Raoul Bott.
PhD University of Cambridge, 2003
Kevin Costello (Ph.D., Université de Cambridge, 2003) est titulaire de la chaire Krembil-William-Rowan-Hamilton de physique théorique. Il s’est joint à l’Institut Périmètre en 2014, en provenance de l’Université Northwestern, où il était professeur depuis 2006. Kevin Costello travaille sur les aspects mathématiques de la théorie quantique des champs et de la théorie des cordes. Il est l’auteur de Renormalization and Effective Field Theory (Renormalisation et théorie effective des champs), une monographie inédite qui introduit de nouveaux et puissants outils mathématiques dans la théorie quantique des champs. Il est également coauteur de l’ouvrage Factorization Algebras in Quantum Field Theory (Algèbres de factorisation en théorie quantique des champs). Entre autres distinctions, Kevin Costello a reçu une bourse de recherche Alfred P. Sloan et le prix Berwick de la Société mathématique de Londres. En 2018, il a été élu membre de la Société royale de Londres. Lauréat du prix Leonard-Eisenbud de la Société américaine de mathématiques en 2020, il a été élu membre honoraire de l’Académie royale d’Irlande la même année. Puis il a reçu en 2022 le prix John L. Synge de la Société royale du Canada pour ses recherches remarquables en sciences mathématiques.
PhD University of California, San Diego, 2002
Neal Dalal (Ph.D., Université de Californie à San Diego, 2002) s’est joint à l’Institut Périmètre en octobre 2017, en provenance de l’Université de l’Illinois à Urbana-Champaign, où il était professeur adjoint depuis 2011. Auparavant, il avait été chercheur postdoctoral à l’Institut d’études avancées de Princeton et associé principal de recherche à l’Institut canadien d’astrophysique théorique. Ses recherches portent sur la physique fondamentale de la cosmologie, la structure de l’Univers et la formation des galaxies. Neal Dalal a créé à partir de données cosmologiques plusieurs tests portant sur la nature de la matière sombre.
PhD Max Planck Institute for Gravitational Physics, 2005
Bianca Dittrich (Ph.D., Institut Max-Planck de physique gravitationnelle, 2005) est devenue professeure à l’Institut Périmètre en 2012. Auparavant, elle dirigeait le groupe de recherche Max-Planck sur la dynamique canonique et covariante de la gravitation quantique à l’Institut Albert-Einstein de Potsdam, en Allemagne. En juillet 2023, elle est devenue présidente du corps professoral de l’Institut Périmètre. Ses recherches portent sur l’élaboration et l’examen de modèles de gravitation quantique, de même que sur des sujets connexes en physique mathématique. Entre autres importantes découvertes, elle a mis au point un cadre de calcul d’observables invariants de jauge en relativité générale, réalisé de nouvelles constructions de géométrie quantique, identifié des propriétés holographiques de la gravitation quantique indépendante du fond et contribué de manière cruciale à l’établissement des limites de continuité dans les mousses de spin. Bianca Dittrich a reçu la médaille Otto-Hahn, remise par la Société Max-Planck à de jeunes scientifiques d’exception, une bourse de nouveau chercheur du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario, ainsi qu’un supplément d’accélération à la découverte du CRSNG (Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada).
PhD Princeton University, 2013
William East (Ph.D., Université de Princeton, 2013) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2016 à titre de boursier du directeur et est devenu membre du corps professoral en janvier 2018. Auparavant, il a été boursier postdoctoral à l’Institut Kavli d’astrophysique des particules et de cosmologie de l’Université Stanford (2013-2016). William East fait appel à des méthodes numériques et à l’informatique de haute performance pour étudier des phénomènes astrophysiques violents, tels que les fusions de trous noirs et les collisions d’étoiles denses, et pour explorer la gravité extrême et de nouveaux aspects de la physique fondamentale. Sa thèse de doctorat lui a valu le prix Nicholas-Metropolis de la Société américaine de physique (2015) et le prix Jürgen-Ehlers de la Société internationale de relativité générale et de gravitation (2016).
PhD University of California, Santa Barbara, 2018
Dominic Else (Ph.D., Université de Californie à Santa Barbara, 2018) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2022, où il collabore avec des scientifiques du Centre Clay-Riddell de recherches sur la matière quantique. Il a récemment complété un séjour de recherche à l’Université Harvard. En 2021, Dominic Else a remporté un prix New Horizons (Nouveaux horizons) de la Fondation Breakthrough Prize (Prix du progrès scientifique) pour ses « travaux théoriques innovateurs décrivant de nouveaux états hors équilibre de la matière quantique, notamment les cristaux temporels ».
PhD Princeton University, 2004
Davide Gaiotto (Ph.D., Université de Princeton, 2004) est titulaire de la chaire Fondation-Krembil-Galilée de physique théorique de l’Institut Périmètre, où il est professeur depuis 2012. Auparavant, il a été boursier postdoctoral à l’Université Harvard (2004-2007), puis membre de l’Institut d’études avancées de Princeton pendant de nombreuses années (2007-2012). Davide Gaiotto travaille dans le domaine des champs quantiques fortement couplés et a réalisé plusieurs percées conceptuelles importantes. Il a obtenu la médaille Gribov de la Société européenne de physique (2011) et un prix New Horizons (Nouveaux horizons) de physique de la Fundamental Physics Prize Foundation (Fondation du Prix de physique fondamentale, 2013). Il est également l’un des chercheurs principaux du projet collaboratif de la Fondation Simons sur le confinement et les tubes de flux en chromodynamique quantique (CDQ).
PhD Rutgers University, 1999
Jaume Gomis (Ph.D., Université Rutgers, 1999) est devenu professeur à l’Institut Périmètre en 2004, renonçant du même coup à une bourse de jeune chercheur européen qui lui avait été octroyée par la Fondation européenne de la science. Auparavant, il a travaillé à l’Institut de technologie de Californie à titre de postdoctorant et d’agrégé supérieur de recherche Sherman-Fairchild. Ses domaines privilégiés de recherche sont la théorie des cordes, la théorie quantique des champs et la physique mathématique. Jaume Gomis a obtenu une bourse de nouveau chercheur du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario pour un projet visant à mettre au point de nouvelles techniques pour décrire les phénomènes quantiques en physique nucléaire et en physique des particules. En 2019, il a remporté le prix ACP-CRM de physique théorique et mathématique remis par l’Association canadienne des physiciens et physiciennes et le Centre de recherches mathématiques, pour ses apports à la théorie des cordes et aux théories de jauge en régime de couplage fort.
PhD University of Durham, 1992
Lucien Hardy (Ph.D., Université de Durham, 1992) est devenu professeur à l’Institut Périmètre en 2002, après avoir occupé des postes de chercheur et de chargé de cours dans diverses universités européennes, dont l’Université d’Oxford, l’Université La Sapienza de Rome, l’Université de Durham, l’Université d’Innsbruck et l’Université nationale d’Irlande. En 1992, il a trouvé une preuve très simple de la non-localité en physique quantique, aujourd’hui appelée le paradoxe de Hardy. Il s’est intéressé à la caractérisation de la théorie quantique en termes de postulats opérationnels et a proposé des reformulations des opérateurs de la théorie quantique et de la relativité générale, des travaux qui pourraient constituer un pas vers une théorie de la gravitation quantique. Lucien Hardy a introduit le principe d’équivalence quantique, considéré comme une clé qui pourrait permettre de relier la théorie quantique des champs à la gravitation quantique. Il a travaillé tout récemment sur une formulation symétrique dans le temps des opérateurs de la théorie quantique.
PhD Fudan University, 2014
Yin-Chen He (Ph.D., Université Fudan, 2014) s’est joint à l’Institut Périmètre en juillet 2018, en provenance de l’Université Harvard, où il était boursier postdoctoral Moore depuis 2016. Auparavant, il avait passé deux ans comme postdoctorant à l’Institut Max-Planck de physique des systèmes complexes. Chercheur dans le domaine de la matière condensée, il s’intéresse aux systèmes fortement corrélés, en particulier les liquides de spin quantiques, de même qu’à la criticité quantique, à la théorie conforme des champs, aux états topologiques de la matière, à la théorie quantique des champs et aux simulations numériques.
PhD Massachusetts Institute of Technology, 2015
Timothy Hsieh (Ph.D., Institut de technologie du Massachusetts, 2015) s’est joint à l’Institut Périmètre en mars 2018, en provenance de l’Institut Kavli de physique théorique de l’Université de Californie à Santa Barbara, où il était boursier postdoctoral Moore depuis 2015. Timothy Hsieh est directeur du Centre Clay-Riddell de recherches sur la matière quantique de l’Institut Périmètre. Ses recherches portent principalement sur les états exotiques de la matière dont les comportements physiques sont dictés par les structures mathématiques de la topologie. Il s’intéresse également aux matériaux quantiques, à l’intrication, de même qu’aux applications de systèmes quantiques synthétiques à la simulation quantique. Timothy Hsieh a obtenu une bourse de nouveau chercheur du ministère des Collèges et Universités de l’Ontario.
PhD Stanford University, 2017
Junwu Huang (Ph.D., Université Stanford, 2017) s’est joint à l’Institut Périmètre comme postdoctorant en 2017 et est devenu membre du corps professoral en 2022. Il conçoit des expériences innovatrices à petite échelle pour rechercher dans l’Univers des particules légères à couplage faible sous forme de matière sombre. Il recherche également, en se basant sur des observations astrophysiques et cosmologiques, de nouveaux phénomènes physiques liés à la théorie des cordes, y compris des axions, des cordes cosmiques et de nouveaux vides dans le paysage de la théorie des cordes.
PhD University of Pittsburgh, 1998
Luis Lehner (Ph.D., Université de Pittsburgh, 1998) a d’abord été professeur associé à l’Institut Périmètre en 2009, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université de Guelph, puis il est devenu professeur à plein temps à l’Institut Périmètre en 2012. Il a été successivement vice-président (2014-2017) et président du corps professoral de l’Institut (2018-2021). Il avait été auparavant professeur à l’Université d’État de Louisiane (2002-2009). Luis Lehner a reçu de nombreuses distinctions, dont le Prix d’honneur de l’Université nationale de Córdoba, en Argentine, une bourse de préparation au doctorat de la Fondation Mellon, le prix CGS/UMI pour une thèse remarquable, de même que le prix Nicholas-Metropolis de la Société américaine de physique. Il a été boursier de l’Institut du Pacifique pour les sciences mathématiques, boursier national de l’Institut canadien d’astrophysique théorique, ainsi que titulaire d’une bourse de recherche Sloan. Luis Lehner est actuellement membre élu de l’Institut de physique du Royaume-Uni et de la Société américaine de physique. Il est également membre de la Société internationale de relativité générale et de gravitation, ainsi que codirecteur du programme Extrême Univers et gravité de l’Institut canadien de recherches avancées. Il siège aux conseils scientifiques du Centre international de physique théorique de l’Institut sud-américain pour la recherche fondamentale et du Centre Oskar-Klein de l’Université de Stockholm. Il est également le théoricien en résidence du Comité international des ondes gravitationnelles. En 2019, Luis Lehner a fait partie de la liste TD des 10 Hispano-Canadiens les plus influents.
PhD University of British Columbia, 2021
Alex May (Ph.D. Université de la Colombie-Britannique, 2021) s’est joint au corps professoral de l’Institut Périmètre à l’été 2023. Auparavant, il a été chercheur postdoctoral à Stanford (2021-2023), où il a travaillé au sein du groupe de Patrick Hayden et obtenu une bourse de recherche octroyée conjointement par les projets It from Qubit et Q-FARM. La recherche d’Alex May se situe à la jonction de l’information quantique et de la gravité quantique. Il s’est intéressé particulièrement aux concepts en cryptographie quantique et à leur application à la gravité quantique, ce qui a donné lieu à de nouveaux théorèmes en relativité générale. À l’inverse, il a aussi utilisé des concepts en gravité quantique pour établir de nouveaux liens entre différents sujets en cryptographie.
PhD Harvard University, 2019
Sabrina Gonzalez Pasterski (Ph.D., Université Harvard, 2019), théoricienne des hautes énergies, est devenue membre du corps professoral de l’Institut Périmètre en 2021, après avoir complété un stage postdoctoral au Centre de sciences théoriques de l’Université de Princeton. Avant son arrivée à l’Institut Périmètre, elle a découvert des améliorations à la symétrie de dimension infinie de la matrice S, un nouvel effet de mémoire observable en gravité, ainsi qu’un cadre permettant de généraliser ces caractéristiques de la physique de l’infrarouge à d’autres théories. À titre de fondatrice et chercheuse principale de la nouvelle initiative de l’Institut Périmètre sur l’holographie céleste, elle dirige une équipe de chercheurs dans les domaines des amplitudes, de la physique mathématique et de la gravité quantique, dans un effort concerté visant à unifier notre compréhension de l’espace-temps avec la physique quantique en codant notre Univers sous forme d’un hologramme. Elle a récemment été nommée vice-directrice du nouveau projet collaboratif de la Fondation Simons sur l’holographie céleste.
PhD University of Chicago, 2007
Kendrick Smith (Ph.D., Université de Chicago, 2007) est titulaire de la chaire Famille-Daniel-James-Peebles de physique théorique de l’Institut Périmètre, où il est professeur depuis 2012. Il dirige également le Centre de recherches de l’Institut Périmètre sur l’univers. Auparavant, il a été postdoctorant à l’Université de Princeton (2009-2012) et à l’Université de Cambridge (2007-2009). Kendrick Smith est un cosmologiste actif dans le milieu de la théorie comme dans celui de l’observation. Il est membre de plusieurs équipes d’expérimentateurs, notamment celle de l’expérience WMAP (Wilkinson Microwave Anisotropy Probe – Sonde d’anisotropie micro-ondes Wilkinson) – qui a reçu le prix Gruber 2012 de cosmologie et le Breakthrough Prize (Prix du progrès scientifique) 2018 de physique fondamentale –, ainsi que celle du projet CHIME (Canadian Hydrogen Intensity Mapping Experiment – Expérience canadienne de cartographie de l’intensité de l’hydrogène) et celle de la collaboration Planck. Avec deux collègues, il a reçu un prix New Horizons (Nouveaux horizons) de physique en 2020. Il a obtenu plusieurs résultats importants, dont la première détection de l’effet lenticulaire gravitationnel dans le rayonnement fossile (ou fonds diffus cosmologique). Il détient par ailleurs un second doctorat en mathématiques de l’Université du Michigan.
PhD Harvard University, 1979
Lee Smolin (Ph.D., Université Harvard, 1979) est l’un des premiers professeurs de l’Institut Périmètre. Auparavant, il a été professeur à l’Université Yale, à l’Université de Syracuse et à l’Université d’État de Pennsylvanie. Ses recherches portent surtout sur le problème de la gravitation quantique – où il a contribué à l’élaboration de la gravitation quantique à boucles. Ses contributions s’étendent toutefois à de nombreux domaines, dont les fondements quantiques, la cosmologie, la physique des particules, la philosophie de la physique et l’économie. Il a publié 210 articles qui ont fait l’objet de plus de 11 000 citations à ce jour. Il a écrit cinq ouvrages non techniques et est coauteur d’un livre sur la philosophie du temps. Entre autres distinctions, Lee Smolin a reçu le prix Majorana (2007), le prix commémoratif Klopsteg (2009) et le prix Buchalter de cosmologie (2014). Il a aussi été élu membre de la Société américaine de physique et de la Société royale du Canada.
PhD University of Toronto, 2001
Robert Spekkens (Ph.D., Université de Toronto, 2001) est devenu professeur à l’Institut Périmètre en 2008, après avoir été titulaire d’une bourse internationale de la Société royale de Londres à l’Université de Cambridge. Il travaille dans le domaine des fondements de la théorie quantique, où il est connu pour ses recherches sur la vision épistémique des états quantiques, le principe de non-contextualité, la nature de la causalité dans un monde quantique et la quantification de diverses propriétés des états quantiques en tant que ressources. Robert Spekkens est corédacteur de l’ouvrage Quantum Theory: Informational Foundations and Foils (Théorie quantique : fondements informationnels et théories de remplacement) et il dirige l’Initiative sur l’inférence causale quantique de l’Institut Périmètre. Il a reçu le prix Birkhoff-von-Neumann de l’Association internationale pour les structures quantiques en 2008, et a remporté en 2012 le premier prix au concours d’essais de l’Institut FQxI des questions fondamentales (Foundational Questions Institute) pour son article intitulé Questioning the Foundations: Which of Our Assumptions Are Wrong? (Remise en question des fondements : lesquelles de nos hypothèses sont fausses?).
PhD École Normale Supérieure and the Theoretical Physics Center at the University of Porto, 2008
Pedro Vieira (Ph.D., École normale supérieure de Paris et Centre de physique théorique de l’Université de Porto, 2008) est titulaire de la chaire Clay-Riddell-Paul-Dirac de physique théorique à l’Institut Périmètre, où il est professeur depuis 2009. Auparavant, il a été chercheur associé à l’Institut Max-Planck de physique gravitationnelle (Institut Albert-Einstein), de 2008 à 2009. Ses recherches portent sur la mise au point de nouveaux outils mathématiques pour les théories de jauge et des cordes dans leurs régimes non perturbatifs. Il s’intéresse surtout à une théorie particulière, dite N = 4 SYM, qui permet de développer de tels outils, ainsi qu’à la théorie autocohérente des matrices S, qui restreint l’espace possible de toute théorie physique, en particulier les théories de jauge et des cordes en régime de couplage fort. Pedro Vieira est chercheur principal au sein de l’équipe de la Fondation Simons sur l’autocohérence non perturbative. Parmi ses nombreuses distinctions, mentionnons une bourse de recherche Sloan, la médaille Gribov de la Société européenne de physique et le prix international Raymond-et-Beverly-Sackler de physique décerné par l’Université de Tel-Aviv, de même qu’un prix New Horizons (Nouveaux horizons) en physique en 2020.
PhD Massachusetts Institute of Technology, 2015
Chong Wang (Ph.D., Institut de technologie du Massachusetts, 2015) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2018, en provenance de l’Université Harvard, où il était jeune boursier de la Société des boursiers de Harvard depuis 2015. Chong Wang travaille sur la théorie de la physique de la matière condensée quantique, notamment les états topologiques de la matière, la criticité quantique, les effets Hall quantiques et les liquides de spin, ainsi que leurs relations avec des aspects modernes de la théorie quantique des champs.
PhD Massachusetts Institute of Technology, 2012
Beni Yoshida (Ph.D., Institut de technologie du Massachusetts, 2012) est devenu professeur à l’Institut Périmètre en juillet 2017, où il est d’abord arrivé comme chercheur postdoctoral supérieur en 2015. Auparavant, il a été boursier Burke à l’Institut de physique théorique de Caltech (Institut de technologie de Californie), de 2012 à 2015, où il a travaillé au sein du groupe de John Preskill. Les recherches de Beni Yoshida portent principalement sur les applications de la théorie de l’information quantique à des problèmes de physique des systèmes quantiques à N corps et à des problèmes de gravitation quantique. En particulier, il s’est servi des techniques de la théorie du codage quantique pour construire des modèles réduits de la correspondance AdS/CFT et a découvert des processus d’extraction d’information de trous noirs à l’aide des phénomènes de brouillage de l’information quantique.
PhD Yale University, 2021
Sisi Zhou (Ph.D. Université Yale, 2021) s’est jointe à l’Institut Périmètre à titre de membre du corps professoral en septembre 2023. Auparavant, elle a été boursière postdoctorale de l’IQIM (Institut pour l’information et la matière quantiques) à l’Institut de technologie de Californie (2021-2023), sous la supervision de John Preskill. Elle a obtenu son doctorat de l’Université Yale en 2021, sous la supervision de Liang Jiang. Ses intérêts de recherche convergent vers l’information quantique théorique, en particulier la métrologie quantique et la correction d’erreurs quantiques. Concrètement, ses recherches ont montré comment la correction d’erreurs quantiques peut permettre d’atteindre les limites ultimes de sensibilité en métrologie quantique en présence de bruit.
PhD Princeton University, 2004
Niayesh Afshordi (Ph.D., Université de Princeton, 2004) est professeur associé à l’Institut depuis 2009, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université de Waterloo. Il a été boursier de l’Institut de théorie et de calcul du Centre d’astrophysique Harvard-Smithsonian (2004-2007), puis chercheur émérite à l’Institut Périmètre (2008-2009). Niayesh Afshordi se spécialise dans les problèmes interdisciplinaires de la physique fondamentale, de l’astrophysique et de la cosmologie. Au cours des trois dernières années, il a également transposé ces compétences à la modélisation de la dynamique de l’épidémie de COVID-19 et à la radiothérapie, ce qui pourrait contribuer à éclairer des politiques actuelles et futures en santé publique. Sur un autre front, il a été l’instigateur des démarches visant à mettre sur pied des collaborations entre philosophes, physiciens et astronomes pour discuter de la nature de l’espace-temps quantique. Entre autres distinctions, il a reçu un supplément d’accélération à la découverte accordé par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, une bourse de nouveau chercheur du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario et la médaille d’or Vainu-Bappu de la Société astronomique de l’Inde. Il a aussi remporté le 1er prix Buchalter de cosmologie de la Société américaine d’astronomie en 2019, ainsi que le 3e prix en 2015.
PhD Tel Aviv University, 1998
Alexander Braverman (Ph.D., Université de Tel-Aviv, 1998) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2015, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université de Toronto. Il a été auparavant membre du corps professoral de l’Université Brown (2004-2015), de même que chargé de cours à l’Université Harvard (2000-2004) et à l’Institut de technologie du Massachusetts (1997-1999). Alexander Braverman se spécialise dans plusieurs domaines ayant des applications en physique mathématique, dont la géométrie algébrique, la théorie des représentations, la théorie des nombres et le programme de Langlands géométrique. Il a été boursier de l’Institut de mathématiques Clay et boursier Simons en mathématiques.
PhD California Institute of Technology, 2004
Avery Broderick (Ph.D., Institut de technologie de Californie, 2004) est devenu professeur associé à l’Institut Périmètre en septembre 2011, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université de Waterloo, et a été titulaire de la chaire Famille-Delaney-John-Archibald-Wheeler de physique théorique de l’Institut Périmètre de 2017 à 2021. Auparavant, il a été postdoctorant à l’Institut de théorie et de calcul du Centre d’astrophysique Harvard-Smithsonian (2004-2007) et à l’Institut canadien d’astrophysique théorique (2007-2011). Avery Broderick est un astrophysicien aux intérêts de recherche variés, depuis la formation des étoiles jusqu’à la physique des extrêmes au voisinage des naines blanches, des étoiles à neutrons et des trous noirs. C’est un membre clé du consortium international du télescope EHT (Event Horizon Telescope – Télescope horizon des événements), qui a dévoilé en avril 2019 la première image de l’horizon des événements d’un trou noir. Il étudie comment les trous noirs accumulent de la matière et projettent les rayonnements ultrarelativistes observés en sondant la nature de la gravité au voisinage de ces objets célestes. Avery Broderick est lauréat (conjointement avec le consortium du télescope EHT) d’un prix diamant de la Fondation nationale des sciences des États-Unis, du Breakthrough Prize (Prix du progrès scientifique) 2020 de physique fondamentale, ainsi que de plusieurs autres prix.
PhD Cornell University, 1999
Alex Buchel (Ph.D., Université Cornell, 1999) est professeur associé à l’Institut Périmètre depuis 2003, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université Western. Auparavant, il a été chercheur à l’Institut Kavli de physique théorique de l’Université de Californie à Santa Barbara (1999-2002), puis au Centre de physique théorique de l’Université du Michigan (2002-2003). Ses recherches portent sur la compréhension des propriétés quantiques des trous noirs et sur l’origine de l’Univers dans le cadre de la théorie des cordes, de même que sur la mise au point d’outils analytiques qui pourraient apporter un éclairage nouveau sur les interactions fortes des particules subatomiques. En 2007, Alex Buchel a reçu une bourse de nouveau chercheur du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario.
PhD University of Texas at Austin, 1985
Cliff Burgess (Ph.D., Université du Texas à Austin, 1985) est devenu professeur associé à l’Institut Périmètre en 2004, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université McMaster entrée en vigueur en 2005. Auparavant, il a été membre de l’École de sciences naturelles de l’Institut d’études avancées de Princeton, puis professeur à l’Université McGill. Pendant deux décennies, Cliff Burgess a appliqué les techniques de la théorie effective des champs à la physique des hautes énergies, à la physique nucléaire, à la théorie des cordes, à la cosmologie de l’Univers primitif et à la physique de la matière condensée. Avec ses collaborateurs, il a mis au point des modèles importants d’expansion de l’Univers fondés sur la théorie des cordes, qui constituent le cadre le plus prometteur pour une vérification expérimentale. Entre autres distinctions récentes, Cliff Burgess a été récipiendaire d’une bourse Killam et a été élu membre de la Société royale du Canada. Il a aussi remporté le prix ACP-CRM de physique théorique et mathématique. Il a reçu un prix Buchalter de cosmologie en 2016 et un autre en 2017. Son livre intitulé Introduction to Effective Field Theories (Introduction aux théories effectives des champs) lui a valu en 2022 le prix du meilleur ouvrage de physique et chimie décerné par l’Association des éditeurs américains.
PhD Indiana University, 2002
Anton Burkov (Ph.D., Université de l’Indiana, 2002) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2020, dans le cadre d’une nomination conjointe avec le Département de physique et d’astronomie de l’Université de Waterloo, où il est professeur depuis 2007. Physicien théoricien de la matière condensée quantique, Anton Burkov s’intéresse particulièrement aux phénomènes topologiques et de corrélation forte dans la matière quantique. Il est bien connu pour ses travaux innovateurs sur les états topologiques sans gap, tels que les semi-métaux de Weyl et de Dirac, et plusieurs de ses publications sur le sujet figurent dans la liste des articles les plus cités de la base de données ISI Web of Knowledge. Anton Burkov est l’un des chercheurs principaux (et le seul du Canada) au Centre de recherche Energy Frontier sur les semi-métaux topologiques du département américain de l’Énergie.
PhD Massachusetts Institute of Technology, 2011
David Gosset (Ph.D., Institut de technologie du Massachusetts, 2011), nommé conjointement avec l’Institut d’informatique quantique (IQC), est professeur agrégé à l’Université de Waterloo depuis 2018. Auparavant, il a été boursier postdoctoral à l’IQC et à l’Institut de technologie de Californie, et chercheur au Centre de recherche T.J. Watson d’IBM. Ses recherches portent sur les algorithmes quantiques et la théorie de la complexité. Entre autres distinctions, David Gosset a obtenu le prix pour une communication exceptionnelle à la conférence de 2019 sur la théorie du calcul quantique, le prix commémoratif Pat-Goldberg du meilleur article en 2016 et en 2018, ainsi que la bourse postdoctorale Prix-Sherman-Fairchild à Caltech pour l’année 2015-2016. Il est actuellement chercheur de l’Institut canadien de recherches avancées dans le programme d’informatique quantique.
PhD University of California, Santa Cruz, 2007
Matthew Johnson (Ph.D., Université de Californie à Santa Cruz, 2007) est devenu professeur associé à l’Institut Périmètre en 2012, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université York. Auparavant, il a été boursier postdoctoral Moore à l’Institut de technologie de Californie, puis postdoctorant à l’Institut Périmètre. Matthew Johnson est un cosmologiste théoricien dont les recherches interdisciplinaires visent à comprendre comment l’Univers a commencé et comment il a évolué et continuera d’évoluer. Il est l’auteur de contributions dans des domaines allant de la cosmologie inflationnaire à la théorie des cordes, en passant par la relativité numérique et l’analyse de données sur le rayonnement fossile. Matthew Johnson a obtenu par voie de concours des subventions du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, de l’Institut FQXi des questions fondamentales (Foundational Questions Institute) ainsi que du programme New Frontiers in Astronomy and Cosmology (Nouvelles frontières en astronomie et cosmologie), administré par l’Université de Chicago.
PhD University of California, Berkeley, 2013
Theo Johnson-Freyd (Ph.D., Université de Californie à Berkeley, 2013) est professeur associé dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université Dalhousie, où il est professeur adjoint au Département de mathématiques et de statistiques. C’est un physicien mathématicien dont les recherches portent sur les aspects algébriques supérieurs des champs quantiques et de la matière condensée. Avant sa nomination en 2021 à son poste actuel, Theo Johnson-Freyd était chercheur postdoctoral supérieur à l’Institut Périmètre. De 2013 à 2016, il a été boursier postdoctoral de la Fondation nationale des sciences des États-Unis et professeur adjoint Ralph-Boas à l’Université Northwestern. Coauteur de Berkeley Lectures on Lie Groups and Quantum Groups (Conférences Berkeley sur les groupes de Lie et les groupes quantiques), il est chercheur principal au sein de l’équipe de la Fondation Simons sur les symétries globales catégorielles et a reçu un supplément d’accélération à la découverte du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG).
PhD University of Cambridge, 1988
Raymond Laflamme (Ph.D., Université de Cambridge, 1988) est professeur associé dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Institut d’informatique quantique de l’Université de Waterloo, dont il a été le directeur général de 2002 à 2017. Il est également titulaire de la chaire Mike-et-Ophelia-Lazaridis-John-von-Neumann d’informatique quantique à l’Université de Waterloo. Il a été chercheur à l’Université de la Colombie-Britannique et au collège Peterhouse de l’Université de Cambridge, avant de passer au Laboratoire national de Los Alamos en 1992, où il a réorienté ses travaux pour passer de la cosmologie à l’informatique quantique. Depuis le milieu des années 1990, Raymond Laflamme a élaboré des méthodes théoriques de correction d’erreurs quantiques et en a mis certaines en œuvre dans des expériences. Il a été directeur du programme d’informatique quantique à l’Institut canadien de recherches avancées (ICRA) de 2003 à 2016 et coprésident du Conseil consultatif quantique de la Stratégie quantique nationale depuis 2022. Il est conseiller dans le cadre du programme Information quantique de l’ICRA, ainsi que membre élu de la Société américaine de physique, de la Société royale du Canada et de l’Association américaine pour l’avancement de la science. En 2012, il a reçu un doctorat honorifique de l’Université de Sherbrooke et a été titulaire d’une chaire de recherche du Canada de 2002 à 2022. Il a remporté en 2017 le prix ACP-CRM de physique théorique et mathématique remis par l’Association canadienne des physiciens et physiciennes et le Centre de recherches mathématiques. La même année, il a été fait Officier honoraire de l’Ordre du Canada. Avec des collègues, il a fondé l’entreprise Universal Quantum Devices, qui commercialise certaines retombées des recherches en physique quantique. Il dirige aussi QuantumLaf Inc., une jeune entreprise de services-conseils.
PhD Pohang University of Science and Technology, 2000
Sung-Sik Lee (Ph.D., Université scientifique et technologique de Pohang, 2000) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2011, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université McMaster, où il est professeur titulaire. Auparavant, il a été postdoctorant à l’Université scientifique et technologique de Pohang, à l’Institut de technologie du Massachusetts ainsi qu’à l’Institut Kavli de physique théorique de l’Université de Californie à Santa Barbara. Les recherches de Sung-Sik Lee portent principalement sur l’étude des systèmes quantiques à N corps en interaction forte, la théorie quantique des champs, la correspondance AdS/CFT et la gravité quantique. Ses travaux récents sont tournés vers des théories effectives des champs de basse énergie pour les non-liquides de Fermi et des modèles de la matière quantique qui présentent un espace-temps émergent.
PhD Stanford University, 2000)
Debbie Leung (Ph.D., Université Stanford, 2000) s’est jointe à l’Institut Périmètre en 2019. Elle est professeure à l’Institut d’informatique quantique ainsi qu’au Département de combinatoire et d’optimisation de l’Université de Waterloo depuis 2005. Elle est actuellement titulaire d’une chaire de recherche de l’université et a été titulaire d’une chaire de recherche du Canada de niveau 2 (2005-2015). Auparavant, elle a été boursière postdoctorale Tolman à l’Institut d’information quantique de Caltech (Institut de technologie de Californie), après avoir passé quatre mois à l’Atelier de calcul quantique de l’Institut de recherche en mathématiques à Berkeley (de septembre à décembre 2002), au terme d’une bourse postdoctorale de deux ans au sein du groupe de physique de l’information du Centre de recherche T.J. Watson d’IBM (2000-2002). Après avoir obtenu un baccalauréat en physique et mathématique à Caltech en 1995, elle a fait un doctorat en physique à l’Université Stanford sous la direction des professeurs Yoshihisa Yamamoto et Isaac Chuang.
PhD University of California, Santa Barbara, 2005
Roger Melko (Ph.D., Université de Californie à Santa Barbara, 2005) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2012, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université de Waterloo, où il est professeur depuis 2007. Auparavant, il a été boursier Wigner au Laboratoire national d’Oak Ridge (2005-2007). Il dirige le Laboratoire d’intelligence quantique de l’Institut Périmètre et la filière quantique de Creative Destruction Lab, et il est professeur affilié à l’Institut Vector pour l’intelligence artificielle. Théoricien de la matière condensée, Roger Melko étudie les systèmes fortement corrélés à N corps. Il s’intéresse aux phénomènes émergents exotiques, aux systèmes critiques quantiques et à l’intrication. Ses recherches sont axées sur les méthodes numériques comme technique théorique, en particulier sur la mise au point de nouveaux algorithmes et de méthodes d’apprentissage automatique. Entre autres distinctions, Roger Melko a reçu la médaille Herzberg de l’Association canadienne des physiciens et physiciennes, le Prix du jeune scientifique en physique informatique de l’Union internationale de physique pure et appliquée, de même qu’une bourse de nouveau chercheur du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario. Il a également été nommé titulaire de la Chaire de recherche du Canada en physique computationnelle quantique à N corps. En 2021, il a reçu la médaille Brockhouse de l’Association canadienne des physiciens et physiciennes et de la Division de la physique de la matière condensée et des matériaux.
DPhil University of Oxford, 1999
Michele Mosca (D.Phil., Université d’Oxford, 1999) est professeur associé dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Institut d’informatique quantique de l’Université de Waterloo (IQC). Membre fondateur de l’Institut Périmètre et cofondateur de l’IQC, il est aussi professeur au Département de combinatoire et optimisation de la Faculté de mathématiques de l’Université de Waterloo. Il est l’un des fondateurs de CryptoWorks21, le programme de formation en cryptographie post-quantique de l’organisme à but non lucratif Quantum-Safe Canada, ainsi que des ateliers ETSI-IQC sur la cryptographie à l’épreuve des attaques quantiques. Ces ateliers réunissent une grande variété d’intervenants qui œuvrent à la mise sur pied d’un système mondial normalisé de cryptographie post-quantique. Il est également l’un des fondateurs d’evolutionQ Inc., qui aide les organismes à adopter des systèmes et des pratiques à l’épreuve des attaques quantiques, ainsi que de softwareQ Inc., qui offre des services et des outils logiciels quantiques. Ses recherches portent sur le calcul quantique et les outils de cryptographie à l’épreuve des attaques quantiques. Michele Mosca est mondialement reconnu pour son désir d’aider le milieu universitaire, les entreprises et les gouvernements à préparer leurs systèmes pour qu’ils soient sûrs à l’ère des ordinateurs quantiques. Il est l’un des auteurs du manuel réputé intitulé An Introduction to Quantum Computing (Introduction à l’informatique quantique). Michele Mosca a reçu de nombreux prix et distinctions, dont une Bourse du premier ministre pour l’excellence en recherche (2000-2005). Il a été titulaire de la Chaire de recherche du Canada en informatique quantique (2002-2012) et titulaire d’une chaire de recherche de l’Université de Waterloo (2012-2019). Il a également reçu la Médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II (2013) et le prix Fr.-Norm-Choate décerné par l’Université St. Jerome’s pour l’ensemble de sa carrière (2017), et il a été fait chevalier par l’ordre du Mérite de la République italienne (2018).
PhD Max Planck Institute for Quantum Optics, 2011
Christine Muschik (Ph.D., Institut Max-Planck d’optique quantique, 2011) s’est jointe à l’Institut Périmètre en 2019, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Institut d’informatique quantique de l’Université de Waterloo, où elle est professeure depuis 2017. Elle travaille sur de nouvelles méthodes de traitement de l’information quantique et sur des simulations quantiques de problèmes de physique des hautes énergies. Christine Muschik a conçu des protocoles innovateurs pour maîtriser la dissipation (et a établi en 2011 un record de durée d’une intrication), pour réussir la première téléportation déterministe entre des systèmes de matière sur une distance macroscopique (Nature Physics, 2013) et pour réaliser de nouveaux types de simulations quantiques (Nature, 2016 et 2019). Ses travaux sur les simulations quantiques de problèmes de physique des hautes énergies ont été choisis par le magazine Physics World parmi les 10 principales percées en physique de l’année 2016. Christine Muschik a reçu une bourse Simons-Emmy-Noether de l’Institut Périmètre (2018), une bourse de recherche Sloan pour chercheurs exceptionnels en début de carrière (2019), ainsi qu’une subvention Nouvelles frontières pour des recherches transformatrices et à haut risque (2019). En 2020, elle a été choisie comme boursière du programme des chercheurs mondiaux CIFAR Azrieli de l’Institut canadien de recherches avancées et, en 2022, elle a obtenu une chaire de recherche de l’Université de Waterloo ainsi qu’une bourse de nouveau chercheur du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario.
PhD Princeton University, 1995
Ue-Li Pen (Ph.D., Université de Princeton, 1995) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2014, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Institut canadien d’astrophysique théorique de l’Université de Toronto, où il est professeur depuis 1998. Il est également directeur de l’Institut d’astronomie et d’astrophysique de l’Academia Sinica de Taïwan. Astrophysicien théoricien, il étudie des systèmes où les effets physiques fondamentaux peuvent être isolés des complexités astronomiques. Ses projets de recherche portent entre autres sur la dynamique non linéaire du rayonnement fossile de neutrinos, la cartographie d’intensité de la raie à 21 cm, l’observation VLBI des pulsars par scintillométrie et l’expérience CHIME (Canadian Hydrogen Intensity Mapping Experiment – Expérience canadienne de cartographie d’intensité de l’hydrogène). Ue-Li Pen est connu pour avoir mis au point des outils innovateurs afin de créer de nouveaux domaines de recherche. Ses travaux de pionnier de la cartographie d’intensité de la raie à 21 cm ont ouvert une nouvelle avenue pour étudier avec précision l’énergie sombre et les neutrinos. Son utilisation du plasma naturel présent dans notre galaxie comme un télescope géant a donné naissance au domaine de la scintillométrie, apportant un regard neuf sur les énigmatiques pulsars et sursauts radio rapides. Entre autres distinctions, Ue-Li Pen est agrégé supérieur du programme Extrême Univers et gravité de l’Institut canadien de recherches avancées. En 2018, il est devenu le deuxième chercheur membre d’une institution canadienne à recevoir une bourse de chercheur Simons de la Fondation Simons depuis la mise sur pied du programme en 2012. Il fait également partie de l’équipe de chercheurs du télescope CHIME, qui s’est vu décerner un prix du Gouverneur général pour l’Innovation en 2020, le prix Lancelot-M.-Berkeley de la Société américaine d’astronomie en 2021, ainsi que le Prix Brockhouse du Canada pour la recherche interdisciplinaire en sciences et en génie du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada en 2022. Il était aussi l’un des 347 membres du consortium du télescope EHT (Event Horizon Telescope – Télescope horizon des événements) à recevoir le Breakthrough Prize (Prix du progrès scientifique) 2020 de physique fondamentale. Son élection à titre de membre de la Société royale du Canada a été annoncée en septembre 2022, pour ses réalisations scientifiques exceptionnelles.
PhD University of Oxford, 1999
Will Percival (Ph.D., Université d’Oxford, 1999) est professeur associé dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université de Waterloo, où il est titulaire de la prestigieuse chaire Mike-et-Ophelia-Lazaridis de recherche en astrophysique et directeur du Centre d’astrophysique de Waterloo. Will Percival est un cosmologiste qui travaille principalement sur les relevés de galaxies, utilisant leur position pour mesurer le rythme d’expansion de l’Univers et la croissance de la structure du cosmos. Il occupe actuellement des postes de direction scientifique de haut niveau au sein de la mission Euclid et a occupé par le passé des postes de gestion au sein d’autres missions, dont DESI (Dark Energy Spectroscopic Instrument – Spectroscope de l’énergie sombre) et eBOSS (Extended Baryon Oscillation Spectroscopic Survey – Relevé spectroscopique étendu des oscillations baryoniques). Au cours des dix prochaines années, les relevés du ciel changeront la donne dans notre conception de l’énergie sombre, le mécanisme physique qui accélère l’expansion du cosmos. Entre autres distinctions, Will Percival a reçu le prix Fowler de la Société royale d’astronomie de Londres en 2008 et une bourse de scientifique émérite de l’Académie chinoise des sciences en 2016. Il a été reconnu comme l’un des scientifiques les plus influents au monde, figurant à plusieurs reprises sur la liste Thomson Reuters (Clarivate Analytics) des chercheurs les plus cités.
PhD Institute for Nuclear Research of the Russian Academy of Sciences, 2004
Sergueï Sibiryakov (Ph.D., Institut de recherche nucléaire de l’Académie des sciences de Russie, 2004) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2020, dans le cadre d’une nomination conjointe avec le Département de physique et d’astronomie de l’Université McMaster. Auparavant, il était depuis 2013 professeur à l’École polytechnique fédérale de Lausanne et au CERN. Ses domaines de recherche comprennent la phénoménologie de la physique des particules, la cosmologie et la théorie de la gravitation. Sergueï Sibiryakov est coauteur d’un ensemble de travaux révolutionnaires qui établissent la cohérence d’une approche de la gravitation quantique dite de « gravité à anisotropie d’échelle ». Entre autres distinctions, Sergueï Sibiryakov a obtenu la Médaille de l’Académie des sciences de Russie accompagnée du Prix pour jeunes scientifiques, de même que plusieurs subventions et bourses de fondations russes et suisses.
PhD Max Planck Institute for Gravitational Physics & University of Potsdam, 2015
Daniel Siegel (Ph.D., Institut Max-Planck de physique gravitationnelle et Université de Potsdam, 2015) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2019, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université de Guelph. Auparavant, il était postdoctorant et boursier Einstein de la NASA à l’Université Columbia, depuis novembre 2015. Ses recherches portent sur la manière dont les notions de physique fondamentale s’inscrivent dans le cosmos. Elles englobent divers sujets (physique gravitationnelle, astrophysique nucléaire et des hautes énergies, phénomènes astronomiques transitoires) afin de déchiffrer la physique fondamentale des fusions d’étoiles binaires compactes et d’autres systèmes astrophysiques relativistes, de même que leurs implications en physique nucléaire et en cosmologie.
PhD University of California, Berkeley, 2007
Ben Webster (Ph.D., Université de Californie à Berkeley, 2007) est devenu professeur associé à l’Institut Périmètre en juillet 2017, dans le cadre d’une nomination conjointe avec le Département de mathématiques pures de l’Université de Waterloo. Il a été auparavant membre du corps professoral de l’Université de Virginie, de l’Université Northeastern et de l’Université de l’Oregon. Ses recherches portent sur les liens entre la théorie des représentations, la physique mathématique, la géométrie et la topologie, notamment l’homologie de nœuds, la géométrie de singularités symplectiques et la catégorification. Entre autres distinctions, Ben Webster a obtenu une bourse de recherche Sloan et un prix CAREER de la Fondation nationale des sciences des États-Unis. En 2019, il a reçu un prix d’excellence en recherche du Jubilé d’or de la Faculté de mathématiques de l’Université de Waterloo.
PhD California Institute of Technology, 2013
Huan Yang (Ph.D., Institut de technologie de Californie, 2013) s’est joint à l’Institut Périmètre en septembre 2017 dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Université de Guelph. Auparavant, il a été titulaire d’une bourse postdoctorale d’un an à l’Université de Princeton. Astrophysicien théoricien, Huan Yang est un expert des trous noirs, des étoiles à neutrons et des ondes gravitationnelles, et il est très impliqué dans des observations récentes. Il étudie en particulier l’astrophysique et la physique fondamentale des champs gravitationnels intenses. Ses travaux récents visent à comprendre les phénomènes physiques qui se cachent dans les données existantes et à proposer de nouvelles idées qui orienteront des observations à venir.
PhD Stanford University, 2005
Jon Yard (Ph.D., Université Stanford, 2005) est devenu professeur associé à l’Institut Périmètre en 2016, dans le cadre d’une nomination conjointe avec l’Institut d’informatique quantique ainsi que le Département de combinatoire et d’optimisation de l’Université de Waterloo. Il a été auparavant chercheur à l’Université McGill (2005), à l’Institut de technologie de Californie (2005-2007), au Laboratoire national de Los Alamos (2007-2012) et à la division de la recherche de Microsoft (2012-2016). Jon Yard s’intéresse à l’information quantique, à la physique mathématique, aux champs quantiques et à la matière condensée. Avec Graeme Smith, il a reçu en 2009 le prix commémoratif Pat-Goldberg du meilleur article, remis par IBM Research, pour avoir prouvé que la capacité quantique n’est pas le seul facteur qui détermine l’utilité technologique d’un canal de transmission de l’information quantique.
PhD Princeton University, 2009
Katherine (Katie) Mack (Ph.D., Université de Princeton, 2009) s’est jointe à l’Institut Périmètre en 2022 pour devenir la première titulaire de la chaire Hawking de cosmologie et de communication scientifique. Elle était auparavant professeure adjointe à l’Université d’État de Caroline du Nord, après avoir été postdoctorante à l’Institut Kavli de cosmologie de l’Université de Cambridge et à l’Université de Melbourne. Ses principaux domaines de recherche sont la cosmologie théorique, la physique des astroparticules, la théorie de l’Univers primitif et la formation des galaxies. Katie Mack s’intéresse particulièrement à la physique et à l’astrophysique de la matière sombre, et à la façon dont on pourrait trouver des indices sur la nature fondamentale de la matière sombre en examinant ses répercussions sur la formation et l’évolution des structures cosmiques les plus anciennes. Elle a été nommée boursière du programme des chercheurs mondiaux CIFAR Azrieli en 2022 et boursière TED en 2020. Ses écrits scientifiques sont parus dans des publications majeures, dont le New York Times, le Globe and Mail, le Wall Street Journal, Scientific American, BBC Science Focus et Cosmos. Son premier livre de vulgarisation scientifique, The End of Everything (Astrophysical Speaking) (La fin de tout – sur le plan astrophysique), a été désigné par le New York Times comme l’un des ouvrages remarquables de 2020. En reconnaissance de ses services envers l’enseignement de la physique par sa participation dans la sphère publique, elle a été sélectionnée par l’Association américaine des enseignants en physique pour recevoir le prix de la conférence commémorative Richtmyer 2024.
PhD École Normale Supérieure de Lyon, 2010
Maïté Dupuis (Ph.D., École normale supérieure de Lyon, 2010) est directrice de la Formation, de la Diffusion des connaissances et des programmes scientifiques (anciennement les programmes d’enseignement et de recherche) à l’Institut Périmètre. Elle est également professeure agrégée auxiliaire au Département de mathématiques appliquées ainsi qu’au Département de physique et d’astronomie de l’Université de Waterloo. Elle a été boursière postdoctorale à l’Institut de gravitation quantique de l’Université Friedrich-Alexander d’Erlangen-Nuremberg, en Allemagne. Maïté Dupuis a obtenu en 2013 une bourse postdoctorale Banting au Département de mathématiques appliquées de l’Université de Waterloo. Ses recherches portent sur les approches non perturbatives de la gravitation quantique. En 2017, elle s’est jointe au Département des programmes d’enseignement de l’Institut Périmètre comme enseignante, superviseure et mentore. Elle a été nommée directrice adjointe des programmes d’enseignement en 2020. Cofondatrice du programme Tremplin vers l’inclusion, elle en est la vice-présidente depuis sa création en 2018.
PhD University of Waterloo, 2017
Lauren Hayward (Ph.D., Université de Waterloo, 2017) est directrice adjointe des programmes de formation à l’Institut Périmètre, de même que professeure adjointe auxiliaire au Département de physique et d’astronomie de l’Université de Waterloo. Elle travaille dans le domaine de la physique informatique et de la matière quantique, et ses recherches portent sur l’utilisation de méthodes numériques pour étudier des phénomènes tels que les transitions de phase et l’intrication quantique. De plus, Lauren Hayward élabore des programmes d’enseignement et de vulgarisation scientifique et donne des cours en mécanique statistique, en théorie de la matière condensée et en apprentissage automatique. Elle est coanimatrice de la série de balados Conversations at the Perimeter (Conversations à l’Institut Périmètre), où elle mène des entrevues avec des scientifiques qui travaillent à élucider les mystères de l’Univers.
PhD University of Alberta, 2008
David Kubiznak (Ph.D., Université de l’Alberta, 2008) s’est joint à l’Institut Périmètre en 2011, en provenance du Département de mathématiques appliquées et de physique théorique de l’Université de Cambridge, où il était boursier postdoctoral Herchel-Smith depuis 2008. À titre de professeur chargé d’enseignement, il participe au développement du programme de maîtrise PSI (Perimeter Scholars International – Boursiers internationaux de l’Institut Périmètre), dans le cadre duquel il donne aussi des cours, et supervise depuis des années de nombreux étudiants. Ses recherches portent sur les trous noirs et leurs propriétés mathématiques. David Kubiznak est l’un des fondateurs d’une nouvelle sous-discipline de la thermodynamique des trous noirs, appelée « chimie des trous noirs ». Il a reçu la Médaille d’or du Gouverneur général à l’Université de l’Alberta et le prix Milan-Odehnal de la Société tchèque de physique.
Paul Smith
Directeur administratif et chef de l’exploitation
Stefan Pregelj
Directeur principal des finances et de l’exploitation
Patricia Butler
Directrice des ressources humaines et de la culture
Greg Dick
Directeur général du développement et directeur principal de la participation du public
Maïté Dupuis
Directrice des programmes d’enseignement et de recherche
Jorge Gonzalez
Directeur des technologies de l’information
Colin Hunter
Directeur des communications
John Matlock
Directeur des relations extérieures et des affaires publiques
Sue Scanlan
Directrice des finances
Natasha Waxman
Directrice des publications, des subventions et des distinctions
Estelle Inack
Pooya Ronagh, conjointement avec 1Qbit
Seth Siegel
Michael Vasmer, conjointement avec Xanadu
Elie Wolfe
Aida Ahmadzadegan (Université de Waterloo)
Philippe Allard Guérin (Université de Vienne)
Ali Assem Abdelkader Mahmoud, boursier des instituts Fields, AIMS et Périmètre (Université de Waterloo)
Roland Bittleston (Université Cambridge)
Rodolfo Capdevilla, conjointement avec l’Université de Toronto (Université de Notre-Dame)
Changha Choi (Université d’État de New York à Stony Brook)
Luca Ciambelli (École Polytechnique, Centre de physique théorique)
Luciano Combi (Institut argentin de radioastronomie)
Meiling Deng, conjointement avec le Conseil national de recherches du Canada (Université de la Colombie-Britannique)
Daniel Ignacio Egaña-Ugrinovic (Université Rutgers)
Ana Ennis (Université nationale de La Plata)
Reed Essick (Institut de technologie du Massachusetts)
Angelika Fertig (Institut Max-Planck de physique gravitationnelle)
Andrea Fontanella (Université du Surrey)
Simon Foreman, conjointement avec le Conseil national de recherches du Canada (Université Stanford)
Marios Galanis (Université Stanford)
Thomas Galley (Collège universitaire de Londres)
Flaminia Giacomini, boursière SNSF Ambizione (Université de Vienne)
Andrea Guerrieri (Université de Rome)
Justin Hilburn (Université de l’Oregon)
Matheus Hostert (Université de Durham)
Yangrui Hu (Université Brown)
Emilie Huffman (Université Duke)
Kennedy Obinna Idu, boursier des instituts Fields, AIMS et Périmètre (Université de Pise)
Raghav Govind Jha (Université de Syracuse)
Mohammed Khalil (Université du Maryland)
Benjamin Knorr (Université Friedrich-Schiller d’Iéna)
Hlér Kristjánsson (Université d’Oxford)
Alex Krolewski, conjointement avec l’Université de Waterloo (Université de Californie à Berkeley)
Aleksander Kubica (Institut de technologie de Californie) (en congé)
Meenu Kumari (Université de Waterloo)
Pablo Leon (Université d’Antofagasta)
Xinyu Li, conjointement avec l’Institut canadien d’astrophysique théorique (Université Columbia)
Zhi Li (Université de Pittsburgh)
Cheng-Ju Lin (Institut de technologie de Californie)
Zi-Wen Liu (Institut de technologie du Massachusetts)
Tsung-Cheng (Peter) Lu (Université de Californie à San Diego)
Han Ma, boursière Philip-W.-Anderson (Université du Colorado à Boulder)
Mathew Madhavacheril, boursier P.-J.-E.-Peebles (Université d’État de New York à Stony Brook)
Simon May (Institut Max-Planck d’astrophysique)
Cristina Mondino, boursière Chien-Shiung-Wu (Université de New York)
Takato Mori (Collège doctoral de recherche avancée SOKENDAI)
Youssef Mousaaid (Université d’Ottawa)
Lukas Mueller (Université Heriot-Watt)
Jessica Muir (Université du Michigan)
Dominik Neuenfeld (Université de la Colombie-Britannique)
Enrico Olivucci (Université de Hambourg)
Zhen Pan, boursier Yakov-B.-Zel’dovich (Université de Californie à Davis)
Olga Papadoulaki, titulaire d’une bourse-relais Simons (Université d’Utrecht)
Alessia Platania (Université Radboud de Nimègue)
Daniele Pranzetti (Centre de physique théorique de l’Université d’Aix-Marseille)
Valentina Prilepina (Université de Californie à Davis)
Petr Pushkar (Université Columbia)
Dongxue Qu (Université Florida Atlantic)
Ana-Maria Raclariu, boursière Stephen-W.-Hawking (Université Harvard)
Fereshteh Rajabi (Université Western)
Geoffrey Ryan (Université de New York)
Subhayan Sahu (Université du Maryland à College Park)
Susanne Schander (Université Friedrich-Alexander d’Erlangen-Nuremberg)
Marc Schiffer (Université de Heidelberg)
Mykola Semenyakin (Université de Leyde)
Barbara Šoda (Université de Waterloo)
Alexandre Streicher, conjointement avec l’Institut d’études avancées de Princeton (Université de Californie à Santa Barbara)
Aaron Szasz (Université de Californie à Berkeley)
Maxime Trépanier (Collège royal de Londres)
Alex Turzillo (Institut de technologie de Californie)
Michael Vasmer, conjointement avec l’Institut d’informatique quantique (Collège universitaire de Londres)
Viktoriia Voloshyna (Université de Toulon et Université nationale Taras Shevchenko de Kiev)
Jonathan Wang (Université de Chicago)
Zachary Weller-Davies (Collège universitaire de Londres)
Sebastian Wetzel, conjointement avec le Conseil national de recherches du Canada (Institut de physique théorique, Université de Heidelberg)
Luna Zagorac (Université Yale)
Yong Zhang (Académie chinoise des sciences)
Bin Zhu (Université Northeastern)
Liujun Zou, boursier John-Bardeen (Université Harvard)
Celine Zwikel, boursière Jocelyn-Joyce-Burnell (Université libre de Bruxelles)
Scott Aaronson, Université du Texas à Austin
Mina Aganagic, Université de Californie à Berkeley
Yakir Aharonov, Université Chapman
Abhay Ashtekar, Université d’État de Pennsylvanie
Leon Balents, Institut Kavli de physique théorique
Ganapathy Baskaran, Institut des sciences mathématiques de Chennai
Edo Berger, Université Harvard
Patrick Brady, Université du Wisconsin à Milwaukee
Marica Branchesi, Institut des sciences de Gran Sasso
Sergey Bravyi, Centre de recherche Thomas J. Watson d’IBM
Caslav Brukner, Centre des sciences et technologies quantiques de Vienne
John Cardy, Université de Californie à Berkeley
Marcela Carena, Laboratoire national de l’accélérateur Fermi
Bob Coecke, Quantinuum
Glennys Farrar, Université de New York
Matthew Fisher, Institut Kavli de physique théorique
Dan Freed, Université Harvard
Charles Gammie, Université de l’Illinois à Urbana-Champaign
Gian Francesco Giudice, Organisation Européenne pour la Recherche Nucléaire (CERN)
Gabriela González, Université d’État de Louisiane
Daniel Gottesman, Université du Maryland à College Park
Ted Jacobson, Université du Maryland
David B. Kaplan, Université de Washington
Vladimir Kazakov, École normale supérieure
Adrian Kent, Université de Cambridge
Juna Kollmeier, Institut canadien d’astrophysique théorique
Renate Loll, Université Radboud de Nimègue
John March-Russell, Université d’Oxford
Hiranya Peiris, Collège universitaire de Londres
Sandu Popescu, Université de Bristol
Maxim Pospelov, Université du Minnesota
Frans Pretorius, Université de Princeton
Fernando Quevedo, Université de Cambridge
Riccardo Rattazzi, École Polytechnique fédérale de Lausanne
Carlo Rovelli, Centre de physique théorique de l’Université d’Aix-Marseille
Nathan Seiberg, Institut d’études avancées de Princeton
Yan Soibelman, Université d’État du Kansas
Paul Steinhardt, Université de Princeton
Andrew Strominger, Université Harvard
Raman Sundrum, Université du Maryland
Barbara Terhal, Université de technologie de Delft – QuTech
Dam Thanh Son, Université de Chicago
Senthil Todadri, Institut de technologie du Massachusetts
Bill Unruh, Université de la Colombie-Britannique
Guifre Vidal, Google Quantum AI
Mark Wise, Institut de technologie de Californie
Alexander Zamolodchikov, Université d’État de New York à Stony Brook
Maïté Dupuis, professeure chargée d’enseignement et directrice des programmes d’enseignement et de recherche
Lauren Hayward, professeure chargée d’enseignement
David Kubiznak, professeur chargé d’enseignement
Dan Wohns, responsable des programmes PSI (Perimeter Scholars International – Boursiers internationaux de l’Institut Périmètre)
Chargés de cours dans le programme PSI
Gang Xu
Assistants dans le Programme PSI
Philippe Allard Guérin
Bindiya Aurora
Emilie Huffman
Aldo Riello
Giuseppe Sellaroli
Jacob Abajian (Université de Waterloo)
Aman Agarwal (Université de Guelph)
Leonardo Almeida Lessa (Université de Waterloo)
Jacob Barnett (Université de Waterloo)
Yilber Bautista Chivata (Université York)
Sara Bogojevic (Université McMaster)
Francisco Borges (Université McMaster)
Johanna Borissova (Université de Waterloo)
Kasia Budzik (Université de Waterloo)
Ramiro Cayuso (Université de Waterloo)
Alice Chen (Université de Waterloo)
Hong Zhe Chen (Université de Waterloo)
Yushao Chen (Université de Waterloo)
Maxence Corman (Université de Waterloo)
Nicolas Cresto (Université de Waterloo)
Conner Dailey (Université de Waterloo)
Caroline de Lima Vargas Simoes (Université de Waterloo)
Bruno de Souza Leao Torres (Université de Waterloo)
Guillaume Dideron (Université de Waterloo)
Matthew Duschenes (Université de Waterloo)
Thomas Fraser (Université de Waterloo)
Himanish Ganjoo (Université d’État de Caroline du Nord)
Bruno Gimenez Umbert (Université Western Ontario)
Lei Gioia Yang (Université de Waterloo)
Sriram Gopalakrishnan (Université de Waterloo)
Finnian Gray (Université de Waterloo)
Samantha Hergott (Université York)
Alexandre Homrich (Université de Waterloo)
Liqiang Hou (Université d’État de Caroline du Nord)
Puttarak Jai-akson (Université de Waterloo)
Ding Jia (Université de Waterloo)
Eivind Jørstad (Université de Waterloo)
Hassan Khalvati (Université de Guelph)
Athanasios Kogios (Université de Waterloo)
Jordan Krywonos (Université York)
Justin Kulp (Université de Waterloo)
Kohdai Kuroiwa (Université de Waterloo)
Ji Hoon Lee (Université de Waterloo)
Shuwei Liu (Université de Waterloo)
Adrián Khalil López Raven (Université de Waterloo)
Raeez Lorgat (Université de Toronto)
Ruochen Ma (Université de Waterloo)
Marina Maciel Ansanelli (Université de Waterloo)
Amalia Madden (Université de Waterloo)
Shayan Majidy (Université de Waterloo)
Taillte May (Université de Waterloo)
Soham Mukherjee (Université de Waterloo)
Michael Müller (Université de Guelph)
Harish Murali (Université de Waterloo)
Sotirios Mygdalas (Université de Waterloo)
Amirreza Negari (Université de Waterloo)
José de Jesús Padua Argüelles (Université de Waterloo)
Qiaoyin Pan (Université de Waterloo)
Dalila Pirvu (Université de Waterloo)
Surya Raghavendran (Université de Toronto)
Tales Rick Perche (Université de Waterloo)
Alexander Roman (Université de Waterloo)
Shengqi Sang (Université de Waterloo)
Krishan Saraswat (Université de Waterloo)
Nils Peter Siemonsen (Université de Waterloo)
Barbara Šoda (Université de Waterloo)
Aiden Suter (Université de Waterloo)
Weicheng Ye (Université de Waterloo)
Jinmin Yi (Université de Waterloo)
Yìlè Ying (Université de Waterloo)
Matthew Yu (Université de Waterloo)
Keyou Zeng (Université de Toronto)
Keke Zhang (Université de Waterloo)
Yehao Zhou (Université de Waterloo)
Zheng Zhou (Université de Waterloo)
Shahnewaz Ahmed (Bangladesh)
Dawit Belayneh (Éthiopie)
Jacqueline Caminiti (Canada)
Cole Coughlin (Canada)
Saba Etezad Razavi (Iran)
Batia Friedman-Shaw (États-Unis)
Sukanya Ghosal (Inde)
Ifigeneia Giannakoudi (Grèce)
Vincent He (Chine)
Oleksandra Hrytseniak (Ukraine)
Sercan Husnugil (Turquie)
Raquel Izquierdo Garcia (Espagne)
Wirawat Kokaew (Thaïlande)
Dongjin Lee (Corée du Sud)
Mary Letey (États-Unis)
James Munday (Canada)
Robin Oberfrank (Hongrie)
Ali Saraer Toosi (Iran)
Hanne Silverans (Belgique)
Katherine Slattery (États-Unis)
Elisa Tabor (France)
Eirini Telali (Grèce)
Vatsalya Vaibhav (Inde)
Rokas Veitas (États-Unis)
Yuan-Chen Yeh (Taïwan)
School on Table-Top Experiments for Fundamental Physics (Cours intensif sur les expériences de laboratoire en classe sur la physique fondamentale)
Du 19 au 23 septembre 2022
Quantum Gravity Around the Corner (La gravité quantique à nos portes)
Du 3 au 7 octobre 2022
Quantum Matter Workshop (atelier sur la matière quantique)
Du 14 au 16 novembre 2022
New Frontiers in Machine Learning and Quantum (Nouvelles frontières en apprentissage automatique et en physique quantique)
Du 22 au 23 novembre 2022
Causal Inference & Quantum Foundations Workshop (atelier sur l’inférence causale et les fondements quantiques)
Du 17 au 21 avril 2023
Mini-Course of Numerical Conformal Bootstrap (mini-cours sur l’autocohérence conforme numérique)
Du 24 au 28 avril 2023
Quantum Spacetime in the Cosmos: From Conception to Reality (Espace-temps quantique dans le cosmos : de la conception à la réalité)
Du 8 au 12 mai 2023
Quantum Simulators of Fundamental Physics (Simulateurs quantiques de la physique fondamentale)
Du 5 au 9 juin 2023
Machine Learning for Quantum Many-Body Systems (Apprentissage automatique appliqué aux systèmes quantiques à N corps)
Du 12 au 16 juin 2023
TRISEP 2023 Summer School (École d’été tripartite sur les particules élémentaires 2023)
Du 19 au 30 juin 2023
Conférence Strings 2023
Du 24 au 29 juillet 2023
Conférence Testing Gravity 2023
Organisée par l’Université Simon Fraser
Du 18 au 21 janvier 2023, à Burnaby (Colombie-Britannique)
Conférence d’hiver Nuclear & Particle Physics 2023
Organisée par l’Université de Calgary
Du 16 au 19 février 2023, à Calgary (Alberta)
Lake Louise Winter Institute 2023 (Colloque d’hiver à Lake Louise)
Organisé par l’Université de l’Alberta
Du 19 au 24 février 2023, à Lake Louise (Alberta)
Werner Israel Memorial Symposium (symposium à la mémoire de Werner Israel)
Organisé par l’Université de Victoria
Du 18 au 19 mai 2023, à Victoria (Colombie-Britannique)
Conférence Théorie Canada 15
Organisée par l’Université Mount Allison
Du 15 au 17 juin 2023, à Sackville (Nouveau-Brunswick)
Congrès de l’Association canadienne des physiciens et physiciennes (ACP) 2023
Organisé par l’Université du Nouveau-Brunswick
Du 19 au 23 juin 2023, à Fredericton (Nouveau-Brunswick)
Conférence Femmes en physique Canada
Organisée par l’Université du Manitoba
Du 4 au 7 juillet 2023, à Winnipeg (Manitoba)